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Misère de l'homme inachevé: tuez l'enfant qui est en vous avec « Cyclone à la Jamaïque »

Un texte de Jean-Philippe Costes
Thèmes : Cinéma
Numéro : Argument 2021 - Exclusivité Web 2021

Vous qui appartenez à la vaste confrérie des parents ou qui, peut-être, priez secrètement le ciel de vous ramener à l'âge de l'innocence, cessez toute activité et penchez-vous un instant sur l'oeuvre d'Alexander Mackendrick. Vous ne savez probablement rien de ce cinéaste. Si vous le connaissez, par la grâce d'un heureux hasard ou d'une louable cinéphilie, vous avez probablement gardé de lui l'image d'un simple serviteur de la comédie britannique d'après-guerre, dont le dilettantisme et la légèreté sont indignes des honneurs de la mémoire. Les faits semblent justifier cette pauvre postérité. L'ancien pilier des studios Ealing n'a réalisé que neuf longs métrages. Il doit en outre une part de sa gloire éphémère à des films qui, de Whisky à gogo (Whisky Galore) à Comment réussir en amour sans se fatiguer (Don't Make Waves), n'ont jamais fait d'ombre aux monuments de l'écran. Aussi étrange que cela puisse paraître, vous n'êtes pourtant pas en présence d'un vulgaire guignol ou d'un artisan de la pellicule payé à la commande. L'auteur de L'homme au complet blanc (The Man in the White Suit), de Sweet Smell of Success et de Ladykillers appartient en effet au cercle restreint des artistes véritables. Il est même un esprit aventureux qui a fait serment d'ouvrir les carcans du conformisme et de l'hypocrisie générale. Le metteur en scène prétendument insignifiant a ainsi fait preuve d'une formidable audace intellectuelle et morale au cours de sa brève carrière. Il s'est permis de soutenir publiquement une thèse que la plupart des créateurs d'envergure oseraient tout juste murmurer en privé : tout enfant est un monstre.

 

Cette idée a beau avoir un aspect repoussant, sa laideur vous attire étrangement. Sans doute l'avez-vous lue et approuvée dans un traité de Sigmund Freud, le premier penseur assez téméraire pour affirmer que vos fils sont des héritiers d'Oedipe, capables de convoiter le corps de leur mère et de désirer la mort de leur père. Si tel n'est pas le cas, vous avez dû sentir la terrible justesse du propos de Mackendrick en vous remémorant les ambiguités de vos jeunes années ou bien en voyant, transis d'effroi, votre progéniture prendre gaîment le mal par la main. Quoi qu'il en soit, vous avez jeté un voile pudique sur l'obscénité du réel. Malgré les doutes qui vous taraudaient, vous avez souri sur l'ensemble des joyeux clichés de votre clan. Pouviez-vous agir autrement ? On ne méprise pas les plus humbles d'entre les humbles. Il est encore moins concevable de renier la chair de sa chair. Refoulement et faux-semblants étaient en somme vos seules échappatoires. Dans l'ordre social, il convient de faire bonne figure en toutes circonstances.

 

Alexander Mackendrick a lui aussi connu les affres de l'autocensure. Comme il ne pouvait clamer ce que vous-mêmes ne pouviez que ruminer en votre for intérieur, le réalisateur s'est résolu à emprunter des chemins détournés. La majorité de ses ouvrages a par exemple des adultes attardés pour protagonistes. Quand les enfants sont directement ciblés, le subversif écossais curieusement recruté par les major companies américaines utilise d'autres subterfuges. Dans Mandy, poignant portrait d'une fillette née sourde et muette, il noie son discours incendiaire dans le mélodrame. Dans Cyclone à la Jamaïque (A High Wind in Jamaica), la contestation s'insère entre les lignes d'un récit d'aventures en technicolor. Prêtez cependant une attention toute particulière à cette adaptation d'un roman de Richard Hughes. Bien qu'elle ait été réécrite à maintes reprises et amputée de vingt-cinq minutes pour la rendre moins polémique, elle est en effet d'une virulence exceptionnelle dans l'univers policé du cinéma hollywoodien[1]. La fiction aussi sulfureuse que passionnante se déroule au XIXe siècle, entre les Caraïbes et la Grande-Bretagne. Après la destruction de leur colonie antillaise par un ouragan, Emily (Deborah Baxter), John (Martin Amis), Edward (Jeffrey Chandler) et Rachel Thornton sont renvoyés par leurs parents dans leur Angleterre natale[2]. Une longue traversée de l'Atlantique attend la fratrie. Le voyage est hélas interrompu au bout de quelques heures par des pirates. Le bateau à destination de l'Europe est abordé et pillé. Ses plus jeunes occupants sont embarqués sur le navire de Zac (James Coburn) et de Chavez (Anthony Quinn), deux boucaniers emblématiques des mers du sud. Les rôles semblent clairement définis. Les "petits choses" emmenés de force seront les victimes et les bandits de grand chemin, les bourreaux. Mackendrick ne tarde toutefois pas à inverser les positions. Ses héros, apparemment doux comme des agneaux, deviennent ainsi des loups qui causent la perte de ceux qui ont eu l'imprudence de les approcher. Ce retournement ne manquera pas de vous déconcerter. Mais à mesure qu'il s'accomplira, vous constaterez qu'il repose sur une série d'évidences occultées par le socialement correct.

 

Chavez se heurte immédiatement à ces vérités inavouables et inavouées. Le frère de la côte ne cesse de subir le regard inquisiteur d'Emily, la soeur aînée de ses prisonniers juvéniles. Cet oeil réprobateur est pareil à celui qui fixe Caïn dans la Bible. Lourd jusqu'à l'insoutenable, il crée un profond malaise chez le malheureux qui doit l'affronter. Quelle est donc l'origine de ce scanner moral en mesure de transpercer les âmes les plus endurcies ? L'ombrageux comparse de Zac finit par le découvrir à force d'être dévisagé. Devant l'apparente innocence de l'enfant, l'adulte se sent fatalement coupable. Il a constamment l'impression assassine d'être un démon jugé par un ange.

 

L'anxiété qui découle de ce pénible état de fait est sensiblement accrue par une maladie congénitale dont le clairvoyant Mackendrick nous détaille les symptômes. John et les siens ne comprennent pas qu'ils sont aux mains de criminels invétérés. Convaincus d'effectuer un périple normal envers et contre tous les événements plus qu'anormaux auxquels ils assistent, les insouciants vivent sans se préoccuper de leurs infréquentables geôliers. Peu leur importe que ces brutes soient capables de tirer au fusil au-dessus de leurs fortes têtes d'indisciplinés patentés. Rien ou presque n'est grave pour des êtres dont le discernement se résume à presque rien. L'essentiel est dit par ces quelques mots tranchants comme des couperets. L'enfance est effrayante parce qu'elle va de pair avec un manque effroyable de lucidité.

 

Elle est d'autant plus terrifiante, ajoute Cyclone à la Jamaïque avec un réalisme tragiquement persuasif, qu'elle est affligée d'une redoutable maladresse. Les truands au drapeau noir l'apprennent à leurs dépens. Il faut ainsi une chance extraordinaire à leur cuisinier pour ne pas être transpercé par le long couteau que l'un de leurs encombrants pensionnaires a, par mégarde, laissé choir d'une passerelle. Une bonne fortune analogue est nécessaire pour permettre au vaisseau de Chavez d'échapper aux canons d'un bâtiment de guerre anglais. L'ancre du trois-mâts était en effet tombée à l'eau, en plein milieu d'une poursuite impitoyable, parce qu'un marmot dissipé avait fait une fausse manoeuvre avec les cordages qu'il manipulait. Sans la présence providentielle d'un récif, refuge inhospitalier où seuls se risquent les navigateurs en détresse, les forbans auraient été appréhendés et exécutés. Au royaume des enfants, la gaucherie est souveraine et fait régner la panique.

 

Cette peur, précise Alexander Mackendrick, ne laisse aucun répit. Nos mal nommés "chers petits" sont ainsi d'une vulnérabilité qui peut à tout moment provoquer des drames. John nous le rappelle en faisant une chute mortelle au centre de Tampico, port de l'angoisse où Zac et ses hommes avaient décidé de faire escale. Chavez est dévasté par cette fin tant soudaine que violente. L'horrible accident n'a pas seulement accompli le piteux exploit de briser son coeur de pierre. Il a également mis à bas les ultimes vestiges de sa tranquillité. L'enfance, comprend le brigand désolé, est un lait sur le feu qui exige une perpétuelle et harassante surveillance.

 

Cette fragilité structurelle serait néanmoins supportable si elle ne se doublait d'une faiblesse navrante. Mackendrick montre ce surcroît de monstruosité avec la pertinence mâtinée d'insolence qui le caractérise. A la suite du cataclysme qui a ravagé la demeure jamaïcaine de leurs parents, les Thornton sont pour la première fois confrontés à l'unique certitude de la vie terrestre : la mort. Sam, un vieil ami de leur famille, est retrouvé inanimé dans une mare creusée par les pluies diluviennes. Comment les jeunes proches du défunt réagissent-ils au macabre spectacle ? Ils jouent et dansent autour du cadavre. Leur mère (Isabel Dean) crie à la sauvagerie. C'est à cet instant de disgrâce absolue qu'elle décide de rapatrier sa progéniture en Europe. Croire que la barbarie dont nous sommes les spectateurs médusés est d'origine géographique et culturelle constitue cependant une funeste méprise. Cette infamie est en effet liée à la condition enfantine. Moins l'être humain est âgé, plus il vit au présent. Son cerveau primitif ne se préoccupe ni de l'avenir, ni du passé. Cette capacité à se concentrer sur aujourd'hui apparaît comme une aubaine, dans la mesure où elle épargne à ceux qui en disposent la nostalgie d'hier et la crainte de demain. Le bonheur qui semble suivre son sillage mène pourtant à un abysse éthique. Voyage au bout de l'amnésie et de l'insouciance, cette perfide félicité conduit ainsi à l'effacement inexorable d'autrui. Vous qui êtes les chevaliers de quelque bambin, soyez sans illusion. Votre protégé vous aura gommé sous peu de sa mémoire fugitive. Son histoire s'écrit au crayon noir, non à l'encre indélébile. Pour l'implacable créature qui a si longtemps mobilisé votre attention, ce qui n'est plus maintenant n'a jamais été.

 

Le corollaire de cette affreuse insensibilité, poursuit Mackendrick sans se départir de sa verve critique, est une propension non moins ignominieuse à la jouissance égoïste. Marpole (Kenneth J. Warren) s'en avise de la plus pénible des manières. Le capitaine qui devait ramener les Thornton en Angleterre est torturé à la flamme sur ordre des malandrins qui ont attaqué son bateau. Son supplice durera tant qu'il n'aura pas révélé dans quel endroit est caché son argent. Ses passagers s'émeuvent-ils de son triste sort ? Au contraire, ils s'amusent de l'odeur nauséabonde qui émane de l'officier de marine rôti à feu doux. Chez ces pervers majeurs que sont les mineurs, tout est prétexte au ludisme et au divertissement, même ce qui relève de l'abominable.

 

Que ma joie demeure quoi qu'il en coûte, un credo démoniaque se dessine sous nos yeux consternés. Ses contours sont bientôt affinés par un épisode édifiant. Après le décès accidentel de John, le navire des pirates reprend sa route et s'efforce de laisser loin derrière lui la maudite cité portuaire de Tampico. Une sourde mélancolie se répand comme la peste de la cale à la vigie. Emily et les rescapés de sa famille semblent néanmoins immunisés contre l'épidémie de vague à l'âme. Leur seule préoccupation est de savoir s'il leur sera permis de disposer de l'édredon de leur défunt frère. L'estomac des adultes se soulève devant pareille petitesse. "Tout pour mon confort, tout pour mon profit", tel est pourtant la devise des diablotins que nous avons la candeur de prendre pour des chérubins.

 

L'infernale maxime appelle une remarque accablante. L'étoffe que convoitent les ténébreux héros de Cyclone à la Jamaïque n'a pas été choisie fortuitement. Mackendrick voit en elle un symbole : obsédé par sa propre personne, l'enfant ne songe qu'à se couvrir des problèmes que son comportement pourrait lui valoir ; son but n'est pas l'innocence mais l'impunité. Chavez le certifie à son corps défendant. Les Thornton savent que jamais le maître de la flibuste ne lèvera la main sur eux. Ils font par conséquent "ami - ami" avec celui qui devrait être leur ennemi juré. Ainsi, les garnements pourront faire les "quatre cents coups" sans craindre des représailles. Qu'importe la couverture pourvu qu'elle protège.

 

Cette amoralité machiavélique éclaircit un peu plus votre tendance à refouler, au plus profond de votre inconscient, l'immonde bassesse de vos successeurs désignés. Pourtant, la cause première de la monstruosité qui hante votre esprit vous échappe encore à ce stade du récit. Quelle est-elle en dernière analyse ? Alexander Mackendrick apporte une réponse des plus originales à cette question cruciale. L'enfant, professe le réalisateur britannique, n'est pas l'adulte en miniature que ses aînés se plaisent à trouver pittoresque et attachant. Il est un homme inachevé. Cette incomplétude explique son incurable toxicité. Les petits ne disposent pas encore des facultés requises pour être grands en société. La plus flagrante de ces carences est la raison. A l'image de leurs semblables, Edward, Rachel, et autres fléaux en culottes courtes agissent en dépit du bon sens élémentaire. Ils trompent la mort en se pendant à un hamac au-dessus des flots. Ils défient les superstitions des matelots en jouant aux "funérailles maritimes" et en retournant la figure de proue de leur embarcation. Ces actes répétés finissent par avoir des effets délétères que Cyclone à la Jamaïque analyse remarquablement. D'une part, ils augmentent la sensation d'insécurité des adultes. D'autre part, leur nature délirante fait souffler une tempête démentielle dans les crânes. Les affidés de Zac et de son complice sont gagnés par cette dépression psychotique. Persuadés que leurs passagers sont des avortons de Satan, ils obéissent de moins en moins à leurs chefs et s'en remettent de plus en plus à la magie noire. Leur dérive intellectuelle est éloquente. Elle indique sans équivoque que l'enfance est un mal aussi contagieux qu'aliénant.

 

La vieille expression "petite peste" serait-elle donc une redondance ? L'inaptitude à l'altruisme que Mackendrick prête aux enfants accrédite cette sombre hypothèse. Les hors-la-loi des Caraïbes exigent que leurs jeunes hôtes soient débarqués séance tenante sur une île déserte. Ils n'entendent plus cohabiter avec des êtres qu'ils accusent de porter malheur. En se fracturant une jambe, Emily conforte les marins dans leur hostilité de principe. La couvée Thornton sent le vent du boulet et se réfugie sans attendre sous l'aile de Chavez. Elle sait qu'à cet endroit stratégique, le danger sera moindre. Cet asile a valeur de condamnation pour l'homme qui se retrouve dans l'obligation morale de l'accorder. Il promet en effet une mutinerie à brève échéance. Que nul ne s'échine cependant à le faire comprendre à ses bénéficiaires. Les oisillons sont des rapaces nés. Pour eux, seule la conservation de leur nid est un enjeu de poids. La préservation d'autrui ne pèse pas davantage qu'une plume.

 

Vos instincts paternels ou maternels vous poussent à rejeter cette sévérité. Il faut pardonner nos fils et nos filles, protestez-vous en choeur à la façon du Christ en croix, pour le simple et excellent motif qu'ils ne savent pas ce qu'ils font. Cette contre-attaque, menée au nom de la compassion et de la miséricorde, vous donne la rassurante impression d'avoir mis un terme aux assauts qui menaçaient l'intégrité de vos familles. Elle ne fait néanmoins que renforcer l'arsenal critique du contempteur de vos descendants. Mackendrick retourne ainsi l'objection d'inconscience que vous avez formulée en montrant ses conséquences pratiques. Emily est transportée dans la cabine de Chavez. Sa jambe meurtrie la fait atrocement souffrir. Tandis que de fortes fièvres troublent son esprit, les pirates s'emparent d'un voilier de commerce néerlandais. Le capitaine du bateau mis à sac (Gert Fröbe) est fait prisonnier. Profitant de la confusion qui règne chez ses geôliers ivres de joie, le captif tente de s'échapper. Il demande à la fillette blessée qu'il rencontre au hasard de sa fuite de trancher ses liens. Cette requête lui est fatale. Victime d'un accès de délire, sa bienfaitrice présumée se croit en effet agressée. Elle poignarde l'inconnu aux abois qui implorait son aide. L'enfant ne sait pas ce qu'il fait, disiez-vous en bons avocats. Son irresponsabilité ne le rend que plus dangereux, rétorque le procureur Mackendrick au gré d'une talentueuse allégorie. Le pire est constamment envisageable avec cet être qui n'a pas fini de grandir et qui, à ce titre, ne peut mesurer la portée de ses actes.

 

Ce mal extrême est crûment mis en lumière par le dénouement de Cyclone à la Jamaïque. Les boucaniers de l'arc antillais sont arrêtés puis, traduits devant la justice anglaise. Le tribunal leur reproche notamment le trépas de l'officier hollandais qu'Emily a tué. Si cette charge est retenue, une pendaison générale aura lieu. Même le bienveillant Chavez sera exécuté. Incapable d'assumer ses torts, la fille du respectable et respecté Monsieur Thornton (Nigel Davenport) se cache derrière des rideaux de larmes pathétiques. Les juges, attendris par ces pleurs, reportent la colère de la société sur les ennemis publics qui encombrent le box des accusés. Ces gibiers de potence pourront jurer leur bonne foi, rien ni personne ne les sauvera. Les péchés des jeunes, tragique renversement de la sagesse biblique, sont destinés à peser sur les anciens. Le sinistre corollaire de l'irresponsabilité enfantine est la responsabilité inconditionnelle des tuteurs de droit ou de fait.

 

Angoissants, cruels, insensibles, insensés, pervers, égoïstes, inconséquents, destructeurs, la liste des épithètes attribués à ces humains inachevés que sont vos têtes blondes ressemble au réquisitoire d'un condamné à mort. N'en soyez ni surpris, ni outrés. Sigmund Freud, en son temps, vous a recommandé de supprimer symboliquement votre père. Alexander Mackendrick ne fait que prolonger cette tradition de l'homicide salutaire en vous prodiguant un conseil moins provocant qu'il n'en a l'air : vous qui priez secrètement le ciel de vous ramener à "l'âge de l'innocence", cessez vos coupables supplications et tuez sans plus tarder l'enfant qui sommeille en vous ; votre salut en dépend[3].

 

Jean-Philippe Costes, Docteur en science politique de l’université Paris II Panthéon-Assas


Crédit image: Twentieth Century-Fox Productions. Cette image est utilisée pour illustrer l'article sur le film en question et ne sert qu'à des fins informatives ou éducatives.

[1] Virulence qui explique en partie que beaucoup d'entre vous n'aient jamais eu vent du film.

[2] Précisons que la jeune interprète de Rachel Thornton n'a pas été créditée au générique.

[3] Notez que Mackendrick parle en fin connaisseur du sujet. Le cinéaste eut en effet une enfance difficile. Devenu orphelin de père par la faute de la grippe espagnole, il vécut les premières années de son existence dans la solitude et l'exil. 


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